2 avr. 2008

La Grâce de la Rose

Sublime ....
Quand la rose devient femme...
Quelle élégance !

Etendue aux corolles d’une rose princière
Portée par le frisson d’un léger courant d’air
Je me tenais absente aux murmures alentours
Qui emplissaient l’espace et le temps et le jour
Que parlent les bavards que crient les coléreux
Que chantent les chanteurs et que rient les joyeux
Je me perds dans mon rêve en ondes parfumées
Lentement balancée de chaleur et d’été
A peine le bruissé quand l’abeille butine
Le tremblé duveteux d’une aile qui satine
Puis le reflet diaphane d’un diapré de lumière
Inondant de parfums la belle familière
J’ai rêvé tout ce temps au doux lit de la rose
Régine Foucault
j'ai écrit : princière au lieu de trémière

1 commentaire:

Anonyme a dit…

La comparaison est tout à fait appropriée, c'est une très jolie photo. Bravo à vous.